FUERTEVENTURA.
Il faisait très chaud pour un automne,
la lave des volcans qui faisait la terre,
n’avait rien d’un paysage monotone,
l’eau était de l’or, le désir d’une prière.
Les maisons n’avaient pas de fenêtre,
la couleur était très souvent le blanc,
et dans ce paysage, puisse apparaître !
Le petit coin de paradis ! Un champ ;
Mais pas planté de plantes ordinaires !
Légèrement bleutées, au le ciel d’azur,
Des aloès Vera, plantées droites et fières,
Dans cette terre fait de soufre sans verdure.
Dans lointain quelques volcans endormis,
une petite église attendant ses pèlerins,
un ciel avec quelques nuages sans pluie,
un silence religieux, en ce petit matin.
Un palmier au tronc ridé de vieillesse,
surveillant comme un soldat l’horizon,
une coiffure fait de branches de sagesse,
comme un parapluie pour seule prestation.